> Les chevaux Castillonnais > Histoire de la race
Histoire de la race
Moins connu que son voisin et cousin le Mérens, le cheval Castillonnais, ou cheval de Castillon, est originaire de la vallée du Biros, en Ariège, et est également appelé "cheval du Biros" ou "Saint-Gironnais".
Comme toutes les populations chevalines pyrénéennes, le cheval Castillonnais est issu de hardes sauvages très anciennes, dont on peut voir des représentations dans de nombreuses grottes ariégeoises. Il a été, au cours des âges, imprégné de sang oriental et surtout ibérique.
La légende, elle, raconte que ce cheval viendrait de Grèce. Un certain Jouanissou, pauvre Ariégeois, aurait suivi des marchands grecs de passage, et, après y avoir fait fortune, en serait revenu avec des chèvres, des juments, des étoffes et des femmes...
La race a failli disparaître du fait de croisements d'absorption par des races lourdes, mais aussi et surtout suite à la dépopulation de son berceau d'origine et la perte des débouchés traditionnels (agriculture, transport, armée). C'est grâce à un groupe d'éleveurs passionnés, et à la création de l'ANCCAP en 1992, que les effectifs ont pu remonter peu à peu.
En 1996, la race est officiellement reconnu par le Ministère de l'Agriculture comme race de sang (cheval de selle).
Aujourd'hui il est recensé environ 500 chevaux Castillonnais, ce qui est encore très peu et en fait une race toujours menacée.
Comme toutes les populations chevalines pyrénéennes, le cheval Castillonnais est issu de hardes sauvages très anciennes, dont on peut voir des représentations dans de nombreuses grottes ariégeoises. Il a été, au cours des âges, imprégné de sang oriental et surtout ibérique.
La légende, elle, raconte que ce cheval viendrait de Grèce. Un certain Jouanissou, pauvre Ariégeois, aurait suivi des marchands grecs de passage, et, après y avoir fait fortune, en serait revenu avec des chèvres, des juments, des étoffes et des femmes...
La race a failli disparaître du fait de croisements d'absorption par des races lourdes, mais aussi et surtout suite à la dépopulation de son berceau d'origine et la perte des débouchés traditionnels (agriculture, transport, armée). C'est grâce à un groupe d'éleveurs passionnés, et à la création de l'ANCCAP en 1992, que les effectifs ont pu remonter peu à peu.
En 1996, la race est officiellement reconnu par le Ministère de l'Agriculture comme race de sang (cheval de selle).
Aujourd'hui il est recensé environ 500 chevaux Castillonnais, ce qui est encore très peu et en fait une race toujours menacée.