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Une race menacée
Le cheval Castillonnais est une race menacée, à faible effectif.
En 2014, il a été recensé 509 chevaux Castillonnais.
Le cheval Castillonnais était traditionnellement utilisé pour les travaux agricoles, les transports et dans l'armée, et la race a bien failli disparaître avec l'arrivée de la motorisation. Grâce à un groupe d'éleveurs passionnés, et à la création de l'ANCCAP en 1992, les effectifs ont pu remonter peu à peu. La "reconversion" du cheval Castillonnais s'est faite naturellement vers des activités de loisirs, telles que randonnée et attelage, pour lesquelles il est particulièrement adapté.
Aujourd'hui on compte à peine plus de 500 chevaux Castillonnais, ce qui est encore très faible.
Ces dernières années, le nombre de naissances par an diminue, avec pour certaines années un nombre de naissances inférieur au nombre de décès.
Le nombre d'éleveurs également diminue. C'est un métier difficile, et dans la conjoncture actuelle, les chevaux se vendent difficilement.
De plus, le berceau de la race étant à l'origine en Ariège, les aides publiques relatives aux races menacées sont restreintes à ce département, ce qui n'encourage pas les éleveurs des autres départements et ne favorise pas le développement de la race.
Face à cette réalité, on ne peut que constater que la race est loin d'être sauvée. Pourtant il s'agit là d'un patrimoine génétique d'une grande valeur : une race rustique, avec les qualités qui vont avec, telles que résistance et robustesse, mais aussi un esprit noble et vaillant, et bien d'autres qualités encore...
Une race et un patrimoine génétique qu'il serait dommage de laisser disparaître...
En 2014, il a été recensé 509 chevaux Castillonnais.
Le cheval Castillonnais était traditionnellement utilisé pour les travaux agricoles, les transports et dans l'armée, et la race a bien failli disparaître avec l'arrivée de la motorisation. Grâce à un groupe d'éleveurs passionnés, et à la création de l'ANCCAP en 1992, les effectifs ont pu remonter peu à peu. La "reconversion" du cheval Castillonnais s'est faite naturellement vers des activités de loisirs, telles que randonnée et attelage, pour lesquelles il est particulièrement adapté.
Aujourd'hui on compte à peine plus de 500 chevaux Castillonnais, ce qui est encore très faible.
Ces dernières années, le nombre de naissances par an diminue, avec pour certaines années un nombre de naissances inférieur au nombre de décès.
Le nombre d'éleveurs également diminue. C'est un métier difficile, et dans la conjoncture actuelle, les chevaux se vendent difficilement.
De plus, le berceau de la race étant à l'origine en Ariège, les aides publiques relatives aux races menacées sont restreintes à ce département, ce qui n'encourage pas les éleveurs des autres départements et ne favorise pas le développement de la race.
Face à cette réalité, on ne peut que constater que la race est loin d'être sauvée. Pourtant il s'agit là d'un patrimoine génétique d'une grande valeur : une race rustique, avec les qualités qui vont avec, telles que résistance et robustesse, mais aussi un esprit noble et vaillant, et bien d'autres qualités encore...
Une race et un patrimoine génétique qu'il serait dommage de laisser disparaître...